Nouveau rétropédalage du gouvernement, cette fois-ci sur la réforme de la caisse de compensation : alors que l’Exécutif s’était engagé, dans le cadre de son programme gouvernemental, à lever les subventions sur le gaz butane
Lahcen Daoudi. Photo Sohaib Zefri - La disparition de la Caisse de compensation est actée. - Les priorités : identification de la population cible, et accompagnement des industriels - Lahcen Daoudi, ministre chargé des Affaires générales et de
Lahcen Daoudi, ministre des affaires générales en dit en peu plus que le calendrier retenu par le gouvernement pour entamer la décompensation du gaz butane. Le ministre a assuré hier à la Chambre des représentants que cette décompe
Les informations parues dans la presse sont «dénuées de tout fondement» Les informations relayées par certains médias visant à faire croire que le gouvernement a présenté un scénario pour la levée des s
La charge de compensation pour le gaz butane s’est élevée à 791 MDH à fin janvier de l’année en cours, contre 604 MDH à la même période de l’année 2016, soit une hausse de 31%. L’utilisation du gaz butane
Annoncée en fin d’année dernière par le gouvernement, la décompensation du sucre n’aura finalement pas lieu en 2016. En période d’année électorale, difficile de faire passer une telle mesure. Pas de décompensation du sucre en 2016. Bonne ou mauvaise nouvelle? La réponse diffère
Abdelilah Benkirane s’est engagé à décompenser progressivement le sucre, dès l’année 2016, à raison de 10 à 15 centimes par kilo, chaque mois. La méforme du marché mondial du sucre, caractérisé par des prix bas, constitue une fenêtre d’opportunité idéale pour se lancer sans tro
Le Maroc a longtemps soutenu les prix à la consommation du gaz butane. A l’instar des autres énergies, le coût de cette matière s’est alourdi considérablement. Une réflexion sur la décompensation de ce produit est depuis quelques temps à l’ordre du jour. Mais des effets certains sont
Malgré une conjoncture mondiale en légère amélioration, et les efforts du gouvernement en matière de réduction des déficits, la dette publique continue de croître de manière inquiétante. Sur les onze derniers mois de l’année, la hausse est de 12,6% à 553,8 milliards de dirhams, soit 85