Mustapha Benhamza, le médiatique président du Conseil des oulémas de l’Oriental, et par ailleurs membre du CESE, a poussé un coup de gueule retentissant lors de la 41ème AGO du CESE, en plein débat, sur la finance participative.Â
Après le vote du Parlement de la loi organique relative à la pétition et son entrée en vigueur, les autorités concernées seront dans l’obligation juridique de réagir conformément aux dispositions de ladite loi.  Les lois organiques des articles 14 et 15 seront déposées au Parlement au
Selon un rapport publié par Thomson Reuters, la finance islamique au Maroc aurait un potentiel estimé à 70 milliards de dirhams en 2018. Le Maroc dispose d’atouts indéniables de par sa position géographique, la résilience de son économie, sa stabilité économique et sa stratégie de servir
Au regard de la note attribuée au Maroc (A4) par la Coface concernant le risque pays, le Royaume s’en tire plutôt bien au niveau de ses principaux fondamentaux macroéconomiques marqués par la stabilité. Ce bon classement est conforté par le fait que l’Arabie Saoudite, la Turquie et de gran
Le crowdfunding ou financement participatif connaît un véritable engouement dans le monde, surtout depuis la crise de 2008. Besoin de proximité, retour à une finance plus directe et plus humaine, émergence des nouvelles technologies et des réseaux sociaux, sont autant de facteurs qui expliquen
Tant attendu par les professionnels marocains des secteurs de la sécurité au travail et de la gestion des risques, le Salon Préventica international Casablanca a ouvert ses portes ce mardi 8 avril.La cérémonie d’ouverture a été marquée par la présence d’Abdeslam Seddiki, ministre de lâ€
Jusque-là cantonnée en France, Préventica (congrès, salon international) se délocalise au Maroc pour trois jours. Il sera question, par le truchement de conférences et d’expositions de professionnels, de mettre sur orbite les enjeux inhérents à la maîtrise des risques au travail et de pro
Le diagnostic du cadre anti-corruption au Maroc, réalisé par le Conseil de l’Europe, a été présenté récemment à Rabat. «En dehors de quelques initiatives internes dans des institutions publiques spécifiques, il n’y a pas à ce jour une politique nationale de lutte contre la corruption,
L’affaire RuralStruc vient de prendre une nouvelle tournure. C’est ce que nous apprend l’avocat du groupe de chercheurs, Me Abderrahim Jamaï, à travers un communiqué dont nous livrons l’essentiel :Â
La Justice est un secteur vital pour le pays et son développement. Les différentes réformes menées n’ont pas donné les effets escomptés. Le Maroc reste mal classé en matière de compétitivité économique et d’environnement des affaires à cause des dysfonctionnements de la Justice.Outre