"Compte tenu de la progression des créances en souffrance, le taux de sinistralité du secteur bancaire s’est établi à 8,4% à fin 2022 puis à 8,9% à fin avril 2023. Le taux de couverture de ces créances par les provisions s’est
L’année 2021 pourrait être la plus difficile depuis 2009 pour le secteur bancaire, le retrait progressif des mesures d’urgence prises par les Etats depuis le début de la crise du coronavirus risquant d’exacerber des risques que la reprise économique atten
Suite à une décision du GPBM, les banques de la place devront procéder à des campagnes de dépistage au Covid-19 pour l'ensemble de leurs collaborateurs. Cette mesure préventive s'ajoute à celles déjà mises en place par le secteur
Othman Benjelloun, Président du GPBM Le Groupement professionnel des banques au Maroc (GPBM) a, une nouvelle fois, réagit aux critiques dont fait l’objet le secteur bancaire depuis le début de la crise sanitaire au Maroc. Dans un communiqué diffus&
Bank Al-Maghrib et le Conseil de la Concurrence ont signé, jeudi 16 janvier, une convention de coopération qui détermine les conditions et les modalités de collaboration entre les deux parties. Cette convention permettra l’instauration d’une concertation pe
Au cours de l’exercice 2017, Bank Al-Maghrib a effectué pas moins de 27 missions de «contrôle sur place», dont 5 à caractère général. Ces missions ont porté notamment sur : - Le processus d’octroi de
Entretien avec Ahmed Rahhou, PDG de CIH Bank Crédit bancaire, réglementation prudentielle, nouveaux acteurs, environnement des risques, digital, banques participatives, etc. : que de défis pour le secteur bancaire en 2018. Tour d’horizon avec Ahmed Rahhou, P
Dans un récent rapport évaluant le secteur bancaire marocain, l’agence de notation Moody’s affirme que le perspectives pour le système bancaire du Royaume sont positives, soutenues en partie par la diversification économique continue du pays et par u
Les résultats trimestriels publiées par 5 banques de la place laissent entrevoir deux tendances qui se dégagent pour le secteur : le coût du risque, notamment au Maroc, s’améliore et les revenus issus des commissions progressent. A l’he