Les premiers jours de cette 9ème édition de l’Auto Expo ont connu une forte affluence surtout le week-end. Une organisation parfaite, un aménagement adéquat du salon et une qualité des stands sont autant d'ingrédients de réussite de l’événement.
On s’en doutait, c’est désormais certain : les politiques sectorielles ambitieuses et les accords de libre-échange n’ont pas eu les effets escomptés sur le développement économique du pays. Un constat amer que le CESE attribue principalement au manque de cohérence et à la verticalité d
Les pays arabes en mode de transition continuent de souffrir de plusieurs maux. Le taux de chômage global est de 13% en moyenne dans la région. Il a plus que doublé chez les jeunes, atteignant 29%. Une accélération de la cadence des réformes s’impose.
L’ouverture économique des pays est préconisée par les instances financières internationales (FMI, BM) en raison de ses multiples vertus révélées. Le Maroc a fait le pari d’ouvrir son économie au reste du monde. Il en récolte certes les bienfaits, mais ce choix l’astreint à être p
Les experts de la Banque mondiale sont formels : le Maroc n’a d’autres choix si ce n’est de s’intégrer plus fortement aux nouvelles chaînes de valeur des échanges internationaux, et ce afin de tirer son épingle du jeu dans la nouvelle configuration du commerce international. Ce qui amèn
Les données renseignant sur les échanges extérieurs du pays attestent d’un creusement du déficit de la balance commerciale de 9,5% à fin mars 2014. En revanche, la consolation provient encore une fois du dynamisme des exportations hors phosphates qui ont bondi de 8,2%.
Pour un remboursement rapide, chaque compagnie d’assurances s’est dotée d’un centre d’indemnisation. Un enjeu de taille aussi bien pour la compagnie que pour l’assuré.
L’instauration d’une taxe à la première immatriculation d’une voiture de luxe est entrée en vigueur en 2014. La profession estime que le chiffre d’affaires sur ce segment de voitures risque de baisser de 30% à 40%. Le problème est qu’une telle mesure risque d’avoir l’effet inverse
Les voitures hybrides ont un coût peu incitatif au Maroc. Des problèmes se posent toujours sur le mode de recharge publique pour les véhicules électriques du fait que le réseau des stations-service n’est pas équipé.
C’est un parc important qui regroupe différents segments, mais qui a ses spécificités et ses contraintes. Certains organismes publics ont opté pour la LLD afin de mieux gérer leur flotte et maîtriser leur budget.