Finances News Hebdo : Quelles sont aujourd’hui les priorités de l’AFD au Maroc ? Sandra Kassab : L’AFD intervient au Maroc depuis 1992. C’est relativement récent à l’échelle de l’institution, née en 1941, mais le pays est dev
Finances News Hebdo : Quel intérêt pour le Maroc de diversifier ses marchés émetteurs au-delà de l’Europe ? Zoubir Bouhoute : Depuis quelque temps, le Royaume a amorcé une stratégie de diversification de ses marchés émetteurs af
Le tourisme constitue un levier essentiel de création d’emplois, d’attraction d’investissements et, par conséquent, de génération de devises pour le pays. Afin de développer cette industrie stratégique, plusieurs plans d’action ont &e
L'information est devenue l’un des premiers moteurs de compétitivité. C’est sur cette idée que repose le partenariat stratégique scellé à Rabat entre le Conseil de la concurrence et le haut-commissariat au Plan (HCP). Objectif : croiser la st
Longtemps focalisé sur les voitures à motorisation thermique, l’écosystème Renault s’emploie désormais à s’aligner sur les besoins du marché local, mais surtout international. Ce dernier, changement climatique oblige, s’oriente
Finances News Hebdo : Le PLF 2026 alloue des enveloppes substantielles pour le PDTI et les CREM pilotes. Comment évaluez-vous ces allocations pour générer un impact réel sur la croissance régionale ? Hassan Edman : Il convient d'abord de rappeler le context
Finances News Hebdo : La croissance a été au rendez-vous au Maroc ces dernières années malgré la sécheresse. Est-ce à dire que l’économie est moins dépendante de la pluviométrie ? Driss Effina : Durant les vingt-cin
Ce rendez-vous a réuni un public dense, composé d’institutionnels, industriels et fédérations professionnelles, qui a décortiqué l’état des lieux de l’industrie nationale. Il intervient dans un contexte de montée en puissance
Le sport s’est invité, mardi 4 novembre à Rabat, au cœur des discussions économiques. Le panel «CAN 2025 et Coupe du monde 2030 : l’Afrique au cœur du jeu, entre diplomatie et soft power», organisé dans le cadre du 6ème Choiseul
Jusqu’à présent, les OPCC bénéficiaient d’un principe de neutralité fiscale. Ces fonds ne payaient pas d’impôt sur leurs gains; la taxation intervenait uniquement entre les mains des investisseurs, lorsqu’ils percevaient leurs revenus.