Enfourchant le lan gage passionné qui anime les archéolo gues, Afifi fait écla ter une véritable ivresse de la couleur pure et se joue - et se déjoue - de la perspective. A travers soit les procédés photogram métriques, ceux que l’on uti
Laatiris : Pour une jubilation Si Faouzi Laatiris soustrait les objets aux territoires de leur fonction, ce n’est pas seulement pour les exalter en les faisant pénétrer ainsi dans l’espace sacré de l’art (il n’est ni arché
Appelé à redresser la barre d’un navire à la dérive, dès lors que de nombreux secteurs culturels aient pris l’eau de toutes parts, le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, mit un point d’ho
Il est des vocations qui, pour éclore, empruntent des chemins sinueux. Celle de Mohamed Kacimi pour l’art pictural jaillit dans le «sillage» quotidien d’un personnage excentrique. Muni de seaux gorgés de peinture noire, ce dernier arpentait d’un pas ferme
Construite à partir du 17ème siècle, cette prison, qui constitue l’une des composantes essentielles du Palais de la Kasbah, est restée fonctionnelle jusqu’au début des années 1970 en tant que prison civile. Avec une enveloppe budgétaire de
Longtemps, Tanger a été une ville à part, et c’est bien ce qui faisait son charme. À part de l’empire chérifien, échappant dès la fin du XVIIIème siècle à l’autorité des sultans pour, lentement mais assur&
À propos d’Ilias Selfati, on pensait avoir tout dit, tout vu, tout entendu. Et pourtant, le voilà qui se révèle à nouveau ailleurs, radicalement contemporain, à force de ne vouloir se restreindre à rien – ni périodes, ni écol
Après quatre jours d’exposition à la Galerie Venise Cadre à Casablanca mi-décembre, suivis de quatre autres traditionnels à la Mamounia, partenaire fidèle d’Artcurial Maroc, les amateurs des quatre coins du monde ont répondu pr&e
Un vibrant hommage à la femme africaine. Voilà ce que l’on retient des derniers travaux de l’artiste-peintre Asmaa Rochdi qu’elle expose à la galerie casablancaise Chez l’Artiste. D’abord, à travers les portraits de la femme africai
Abdelkrim Ouazzani n’a cessé aussi bien de se construire envers et contre toute idéologie artistique que simplement d’alimenter ses poissons, dragons, dinosaures… Il s’évertue dans un art libre, expérimental et profondément sensib