Faut-il vraiment s’inquiéter de la dette publique au Maroc ? À chaque préparation budgétaire, la question revient avec insistance parmi les analystes. Pourtant, un examen approfondi des données et de la stratégie adoptée tend à rassurer.
Le secteur bancaire fait face à un défi croissant : son exposition grandissante à la dette publique. Cette situation, observée depuis plus de dix ans, suscite des inquiétudes quant à la capacité du système financier à résister &ag
L'économiste Marc Touati n’a pas manqué de féliciter le secteur des assurances marocain pour sa robustesse à l’occasion d’une intervention à distance lors des Rendez-vous de Casablanca de l’assurance. Justement, l'assurance, comme l&
Au cours des deux dernières années, et afin de faire face aux effets de la crise sanitaire, l’État a opté pour une politique budgétaire expansionniste. Elle s’est notamment traduite par une hausse des besoins de financement qui se sont chiffrés &
► Le Maroc n'a pas besoin que sa banque centrale procède à une monétisation de la dette publique, a expliqué Roberto Cardarelli, Chef de Mission du FMI au Maroc, à l'occasion d'une rencontre tenue à Rabat
Alors que la dette publique commençait à peine se résorber, la crise du Coronavirus va la relancer de plus belle. Une situation qui résulte à la fois d'une contraction des recettes de l'Etat, provoquant un déficit estimé &
La tendance haussière de la dette publique directe s'est poursuivie avec une progression de 4,4% à 722,7 milliards de dirhams (MMDH) en 2018, soit un ratio au produit intérieur brut (PIB) de 65,3%, selon Bank Al-Maghrib (BAM). Cette évolution recouvre une
La macroéconomie devrait évoluer de manière mitigée en 2019. Mais le Trésor ne devrait pas peser sur les marchés. La macro constitue la principale source d'informations négatives et donc de risques p
Le financement du besoin du Trésor au titre de l’exercice 2017 a été assuré par des ressources intérieures nettes à hauteur de 35,4 milliards de dirhams (MMDH), les concours extérieurs s’étant limités à un montant net
A la fin du premier semestre 2017, la dette publique serait de l’ordre de 870 milliards de dirhams, soit près de 85% du PIB. Pour Najib Akesbi, économiste et professeur à l’Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, le risque de retour &ag