■ La loi dédiée est datée de 1915 et ne répond plus au développement socioéconomique qu’a connu le Maroc. Le taux d’immatriculation ne dépasse pas les 30%■ La diversité des modes de production, dont l’essentiel a un cadre juridique ancestral, est pénalisante pour l’investissem
■ La spéculation sur les terrains est devenue monnaie courante ces dernières années dans la ville de Casablanca. ■ Le foncier bloque les ambitions de croissance des sociétés de promotion immobilière. ■ Plusieurs mesures ont été prises, mais le problème persiste.
■ Les plans d’aménagement de la préfecture de Mohammedia et de la préfecture d’arrondissement Aïn Sbaa- Hay Mohammadi seront versés dans la procédure dans les semaines qui viennent. ■ Azzeddine Hafif, directeur de la Direction foncière et de l’aménagement urbain à l’Agence ur
■ Le flou sur la valeur des terrains crée une situation qui incite les propriétaires à ne pas vouloir les vendre.■ Le retard des plans d’aménagement contribue pour beaucoup à la flambée des prix des surfaces disponibles.■ Mohamed Berrada, Directeur général Développement et Ventes
■ Yasmine Immobilier a mis en place une signature «Orfèvres de l’immobilier» dédiée à tous ses projets. ■ Le groupe est bloqué dans sa croissance par le problème du foncier.
La Conservation foncière a lancé une nouvelle opération pour se conformer à la loi. Les propriétaires adhèrent peu à l’initiative, évoquant la procédure contraignante et coûteuse, tant sur le plan administratif que fiscal. Les constructions sans autorisation, des modifications et
Multiplicité des régimes et des tutelles, cherté et rareté, sont autant de qualificatifs affublés au foncier au Maroc. Face à ces contraintes majeures pénalisant l’investissement des opérateurs privés, l’Etat a décidé de prendre les devants en organisant des Assises du foncier, qui de