L’actualité diplomatique au Maroc s’est intensifiée depuis l’avènement du nouveau gouvernement. S’agit-il pour le Maroc de se frayer une nouvelle voie sur la scène internationale ?
■ Le fort contenu en importations de la croissance économique explique largement le déficit commercial.■ En 11 ans, les importations de biens et services ont triplé pour atteindre 399 Mds de DH.■ Les importations incompressibles sont composées essentiellement de biens d’équipement
■ Malgré la stabilité macro-économique, cette dernière n’a pas induit une véritable percée au plan de la compétitivité internationale.■ Sur 41 pays, le Maroc occupe la 31ème place loin derrière la Tunisie, l’Egypte et l’Algérie dont les rangs respectifs sont les 6ème, 10ème
■ Les représentations de l’Italie au Maroc s’activent pour accompagner les opérateurs des deux pays.■ Présentation d’une nouvelle brochure des foires et expositions en Italie et des mesures de facilitation des échanges.
■ La Société islamique pour le développement veut accompagner le développement de la finance islamique au Maroc.■ Ses exigences risquent cependant d’être un frein à l’essor de son activité dans le Royaume.
■ Une négligence qui affecte sérieusement le secteur.■ Le nouveau ministère de la Culture a appelé à organiser, structurer et réguler les fondements du théâtre marocain.
■ Sur le plan économique, le Maroc gagnerait à diversifier ses marchés.■ Les gouvernements marocain et espagnol tentent de trouver des solutions aux problèmes bilatéraux afin d’éviter un nouveau clash.■ Pour ce qui est des relations avec le voisin algérien, elles se sont réchauf
Starbucks Coffee Company (Nasdaq : SBUX), en partenariat avec le distributeur leader du Moyen-Orient, Alshaya Morocco S.A.S (une filiale de M.H.Alshaya Co.) a ouvert ses deux premiers établissements au Maroc le 5 décembre dernier, au Morocco Mall.Durant l’année 2012, Starbucks Coffee Company pr
Le chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, a reçu dernièrement à Rabat les coprésidents du Club des chefs d’entreprise France-Maroc.
Le 26 janvier, le nouveau ministre de la santé, El Hossein El Ouardi, avait tenu une réunion d’urgence à l’issue de laquelle il a été annoncé que les prothèses PIP ont bel et bien été utilisées au Maroc.