■ Sur le plan économique, le Maroc gagnerait à diversifier ses marchés.
■ Les gouvernements marocain et espagnol tentent de trouver des solutions aux problèmes bilatéraux afin d’éviter
un nouveau clash.
■ Pour ce qui est des relations avec le voisin algérien, elles se sont réchauffées, mais il n’y a aucun réel avancement concernant l’ouverture de la frontière terrestre et le problème du Sahara.
■ Jawad Kerdoudi, consultant économiste et président de l’IMRI, estime que jusqu’à présent le Maroc a bien tiré son épingle du jeu.