Les résultats trimestriels publiées par 5 banques de la place laissent entrevoir deux tendances qui se dégagent pour le secteur : le coût du risque, notamment au Maroc, s’améliore et les revenus issus des commissions progressent. A l’he
Le Maroc devra trouver 85 milliards de dollars pour honorer ses engagements environnementaux et mener à terme sa transition énergétique. Le DG de l’AMEE met en garde contre le greenwaching. C’est la grande mode, ou du moins, le sujet d’ac
Les six banques cotées affichent une hausse de la masse bénéficiaire de 12,5% à l’issu du premier semestre 2016. Le PNB global progresse de 5,9%. Le secteur bancaire coté à la Bourse de Casablanca a clôturé le premier semestre de l’exercice 2016 sur une note positive, avec une croissa
Mollesse de la progression des crédits, un coût du risque qui poursuit sa lancée, l'immobilier qui peine à sortir de sa crise, surtout côté promoteur, sont autant d'éléments qui augurent d'une année difficile pour le secteur. D'ailleurs, l
Il suffit de faire une intrusion dans les résultats des filiales africaines des trois plus grandes enseignes bancaires du Royaume (AWB, BCP, BMCE) pour s’apercevoir de leurs places de choix dans le paysage bancaire en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale. Le business model adapté à la rÃ
 Le PNB global du secteur bancaire marocain continue d’évoluer lentement, mais sûrement vers une diminution de la marge d’intermédiation au profit de la marge sur commission et des opérations de marché. Les grandes banques de la place cherchent de plus en plus à diversifier leurs sources
Bank Al-Maghrib, CNDP, GPBM et APSF se sont mis d’accord pour verrouiller le processus de collecte et de traitement des données personnelles des citoyens pour une meilleure protection de leurs droits constitutionnels. Se mettre au niveau des standards internationaux est un gage de visibilité Ã
Les investisseurs boursiers intéressés par le secteur bancaire seront sans doute déçus en 2012, à en croire les chiffres de la Banque centrale qui montrent une décélération de l’activité de crédit. De plus, les résultats semestriels des banques cotées montrent une hausse vertigineuse d
70% de l’épargne au Maroc sont constitués de placements liquides à court terme qui ne permettent pas le financement d’investissements structurants. Les mesures mises en place par le gouverneur de BAM pour remédier à cette problématique de la sous-liquidité bancaire, comme la baisse du tau