L’encours de créances en souffrance a continué de grimper en ce début d’année 2018. En effet, selon les statistiques monétaires publiées par Bank Al-Maghrib, à fin janvier 2018, l’encours des créances en souffrance d
Le taux de contentialité est dans un rythme baissier. L’environnement des risques bancaires s’est-il pour autant beaucoup amélioré comme le laissent entendre certains banquiers ? Après la pluie, le beau temps, dit-on. Pour les
Mercredi, L'Agence Fitch annonçait dans un rapport que des banques marocaines sous-estiment leurs créances en souffrance. La présentation du rapport sur la supervision bancaire, tenue en ce moment par Bank Al-Maghrib à Casablanca, était l'occasion pour
Le taux des créances en souffrance des banques marocaines atteint, à fin septembre 2014, près de 52 mil-liards de dirhams, en hausse de près de 28% sur un an. Le taux de sinistralité est de 6,9%. Cette hausse est constante depuis 2011. Pourtant, il n’y aurait pas péril en la demeure étant d
La question des créances en souffrance n’en finit pas d’empoisonner la gestion des banques marocaines.
L’encours des crédits distribués à l’économie a atteint 725,8 Mds de dirhams à fin septembre 2013. Les crédits immobiliers continuent de drainer la plus grande part et l’encours des créances en souffrance, tous crédits confondus, vient de dépasser les 40 Mds de dirhams.
Les données disponibles à fin avril font ressortir une légère reprise du rythme de progression des crédits bancaires à 3,9%, après 3,1% en moyenne durant le premier trimestre de l’année. Toutefois, les créances en souffrance augmentent de 10,4% en glissement annuel.
• L’encours des crédits à l’économie du secteur bancaire a affiché une croissance de 4,5% à 718 Mds de DH à fin 2012. Parallèlement, les créances en souffrance ont augmenté de 9,1% à 35,4 Mds de DH. Les banques vigilantes par rapport à certains secteurs vulnérables exposés aux im
Activité en recul et montée du coût du risque. Comme les banques, les sociétés de financement ont vu leur activité décélérer en 2010 à cause notamment de la stagnation de l’activité des sociétés de crédit à la consommation. Ainsi, le total actif a atteint 84,6 Mds de DH, en hausse