Le taux des créances en souffrance des banques marocaines atteint, à fin septembre 2014, près de 52 mil-liards de dirhams, en hausse de près de 28% sur un an. Le taux de sinistralité est de 6,9%. Cette hausse est constante depuis 2011. Pourtant, il n’y aurait pas péril en la demeure étant donné que cette année la progression de la sinistralité est plus le fait de l’allongement des délais de paiement que de la défaillance des entreprises.