Le déficit de la balance commerciale s’est creusé de 20,6% au termes du premier trimestre 2017. La facture énergétique flambe. A l’issue du premier trimestre 2017, les résultats préliminaires des échanges exté
Exportations : Phosphates en forme, automobile en méforme. Importations : la facture énergétique flambe. 2017 est partie pour être une année compliquée pour le commerce extérieur. Sur les deux premiers mois de 2017, la hausse des importations est bien plus importante que c
Sur les neufs premier mois de l’année 2016, le déficit de la balance commerciale s’est aggravé de 14,3%, soit près de 17 milliards de DH. Les résultats préliminaires des échanges extérieurs au titre des neuf premiers mois de 2016 font ressortir un accroissement important des imp
Après l’embellie de 2015, le déficit de la balance commerciale s’est de nouveau creusé au cours des quatre premiers mois de 2016. Les exportations de phosphates piquent du nez, tandis que les importations de biens d’équipement et de consommation, avec à leur tête les importa-tions de vé
On en sait un peu plus sur le niveau du déficit affiché par la balance commerciale en 2013. Les performances de la balance commerciale alimentaire retiennent particulièrement l’attention avec le recul de son déficit de 79,5%, soit 9,3 Mds de DH par rapport à 2012.
Lors de sa présentation du nouveau plan de développement des exportations, adopté en conseil de gouvernement, devant l’Association marocaine des exporta-teurs (Asmex), Mohamed Abbou, ministre délégué au Commerce extérieur, a fait remarquer qu’outre les faiblesses classiques de l’offre e
Les données renseignant sur les échanges extérieurs du pays attestent d’un creusement du déficit de la balance commerciale de 9,5% à fin mars 2014. En revanche, la consolation provient encore une fois du dynamisme des exportations hors phosphates qui ont bondi de 8,2%.
Les der nières statis-tiques de la Banque centrale font ressortir un alourdissement du défi-cit commercial de 5,3% à fin février de cette année en comparaison à la même période de 2013. En revanche, les exportations inhérentes aux métiers mondiaux du Maroc (MMM), à l’excep-tion du texti
10 à 12 Mds DH de produits de consommation demeurent irréductibles et ne peuvent se substituer à la production nationale. Le Maroc importe 1 Md de DH par jour et exporte 500 MDH, soit un gap de 500 MDH. Une alerte pour prendre les bonnes décisions.
Au terme de l’année 2013, le déficit de la balance commerciale s’est allégé de 5,7 Mds de DH. Les importations ont baissé en valeur, tandis que les exportations ont affiché une hausse de 6,7%, hors phosphates.