Les pronostics avancés pour la période font ressortir une légère diminution de l’activité du BTP. En effet, 28% des chefs d’entreprise prévoient une baisse, contre 21% une hausse. Cette baisse résulterait du recul de l’activité au niveau des Travaux Publics et de sa stabilité au n
Pour l’avenir, cette catégorie redoute la cherté de la vie et le chômage. La quasi-totalité affirme être fière de sa marocanité. Les jeunes marocains s’identifient majoritairement à la classe moyenne.
L'économie marocaine a marqué un taux de croissance de 5 % en 2011 contre 3,6 % en 2010, soit une hausse de 0,1 point par rapport aux estimations issues des comptes trimestriels, selon le Haut Commissariat au Plan (HCP).
Le PIB ne reflète pas le niveau du bien-être de la population. Plus de 250 décideurs politiques, régionaux, statisticiens et universitaires ont débattu de l’intérêt de la mesure du bien-être. Les conclusions de la conférence seront présentées au 4ème Forum mondial de l’OCDE.
Sur invitation de Donald Kaberuka, président du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD), Ahmed Lahlimi Alami, Haut Commissaire au Plan, participera au panel organisé par cette institution sur : «La Banque Africaine de Développement en Afrique du Nord : vers un programme d’action
Paul Cheung, Directeur de la Division de Statistique des Nations Unies, effectuera, du 12 au 16 mars 2011, une visite de travail au Maroc sur l'invitation du Haut Commissariat au Plan. Au cours de sa visite, Paul Cheung aura des entretiens avec le Haut Commissaire au Plan et les responsables des dif
La croissance ne devrait pas dépasser les 2,6% en 2016, selon les prévisions du HCP. Les équilibres macroéconomiques devraient continuer à s’améliorer, même si la dette publique globale atteindrait 81,2%. Les données du HCP montrent, par ailleurs, un essoufflement de la demande in
Le CMC et le HCP tablent sur des taux de croissance respectifs de 2,8% et 2,6% en 2016. Ils font moins bien que la Banque mondiale et le FMI, qui sont dans une fourchette de 4,8 à 5%. Des facteurs exogènes et endogènes auxquels l’économie marocaine prête le flanc, la pluviométrie est sans