A fin novembre, le déficit commercial a déjà atteint 166,45 milliards de DH, d’après les chiffres provisoires de l’Office des changes. Cette situation est due essentiellement à la nette progression des importations, beaucoup plus importante que celle des exportations.Elles sont en hausse de
Wafasalaf vient d’inaugurer son nouveau siège qui regroupe l’ensemble des métiers sur un même site, favorisant à la fois la proximité et contribuant à l’amélioration de la qualité de service.
Le Maroc paie en moyenne 4,7% d'intérêts pour sa dette. L’encours de la dette publique a atteint 494,33 milliards de DH à fin juin 2011. Sur ce total, 396,5 milliards de DH constituent la dette du Trésor (l’Administration); le reste étant dû, pour l’essentiel, par les entreprises et éta
Le logement social connaît un nouveau souffle avec les différents programmes lancés dernièrement, surtout dans les grandes villes comme Casablanca où le déficit est important.
Mamda assure désormais 300.000 hectares de céréales contre les risques climatiques; un objectif ambitieux qui avait été arrêté avec le ministère de l’Agriculture dans le cadre d’une meilleure couverture de la filière céréalière et légumineuse.
«Le CFC avance valablement», selon Abdellatif Jouahri, Gouverneur de Bank Al-Maghrib. L’offre immobilière est entièrement finalisée et la première tranche qui concerne 230.000 m2 est bouclée en faveur de certaines banques de la place et des partenaires étrangers.
Les filiales marocaines répondent favorablement à la stratégie de développement suivie par les banques étrangères. Abdellatif Jouahri apaise les esprits : «Toutes les banques européennes ont réitéré leur souhait de garder leurs filiales au Maroc, que ce soit la Société Générale, le Cr
BAM ne porte pas de dette souveraine au niveau du placement de ses réserves de change. «Nous n’allons pas placer dans des produits qui risquent de nous faire perdre notre capital», argue Jouahri. Trois critères de placement sont retenus, à savoir la sécurité du capital, la liquidité et le
Le CDM vient de rendre publics ses résultats consolidés à fin septembre 2011. Au plan financier, le PNB s’établit à 1,56 Md de DH, soit une évolution de 4 % par rapport à la même période de l’exercice précédent. Le coefficient d’exploitation ressort à 48,5 %, reflétant une bonne m
■ Le Maroc a poursuivi une ouverture naïve qui a plus profité à ses fournisseurs.■ Le modèle économique tel qu’il a été conçu bloque la croissance compétitive.■ BAM essaye de convaincre qu’une politique de change flexible nécessite une coordination efficiente.