L’écrivain nourrit l’artiste. Nous nous demanderions si chaque tableau compose un roman. Intense plaisir que celui de s’abandonner à l’ivresse distillée par une certaine couleur noire. Un noir accordé avec un rouge éblouissant, mais aussi av
A l'occasion de la journée mondiale du livre et du droit d'auteur (jeudi 23 avril), nous avons demandé à 4 écrivains.es marocains.es de décliner les raisons qui les incitent à commettre l'acte d'écrire. (De gauche à droite et de
Le poète nous livre, ici, des poèmes regorgeant de détails, d’émotions et de pensées, où il célèbre la magie des mots. Par R. K. H. Tahar touche les fibres les plus sensibles du lecteur, qu’il s’agisse de l&rsq
Bahaa Trabelsi, qui écrit depuis, « Une femme tout simplement » (éditions Eddif), 1995, a un charme incomparable : mélancolique, teigneux, imprévisible. « La chaise du concierge » (éditions Le Fennec, 2
On ne connaît pas, ou à peine, Aïssa Agostini, peintre thérapeute, guérisseur et poète errant. Ses œuvres valent le détour. Il est des autodidactes qui pour émerger empruntent des chemins de traverse. Le sien, pour la peinture, surgit &a
Toujours là. Viviana Pâques est morte en 2007, mais son regard demeure… Par R. K. H. Gros plans sur les cultes, ou le savoir des gnaouas. C’est le rituel de processions des confréries gnaouis qui attira l’ethnologue Viviana Pâques, les &la
Le visage est le lieu le plus humain de l’homme. L’anthropologue David le Breton le compare à une «scène» où la vie intérieure de la personne se donne à voir, avec ses ambiguïtés, ses abîmes, et où la singu
Burlesque et rocambolesque. Ces adjectifs semblent tombés pile poil pour qualifier le roman d’Abdelhak Najib. Par ailleurs, lorsqu’il s’y décide, il parvient à nous faire déclencher un éclat de rire par page. Il y en a 280 !
Précarité, fragilité, exploitation et angoisse, sont des situations communes des femmes «oubliées». Ce livre en dit long sur ce qu'on ne sait toujours pas sur le «Maroc profond». Par R. K. H. «Dos de femme, dos de mulet» (Edi
Hanan s’échappe du quotidien où la normalisation prédomine, et brille sur des toiles lumineuses. «Aux artistes comme aux saints nous demandons la grâce, affirmait Elsa Morante, difficile de répondre à nos questions les plus désesp&eacut