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La 8ème édition des Journées Culturelles Africaines, porté par l’Institut Supérieur d’Ingénierie et des Affaires (ISGA) se tiendra, cette année, du 14 au 23 mai 2020. A cette occasion, l’ISGA invite ses étudiants de 12 na
Le ministère de l'Education nationale, de la Formation professionnelle, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique annonce le début du processus de pré-inscription pour la première année du cycle de l'enseignement primaire pour l
La plateforme solidaire d’Atlanta Assurances, Nt3awnou.ma, lance une nouvelle initiative : #Mat9ala9ch. Il s’agit d’une cellule d’écoute pour soutenir psychologiquement les personnes impactées par le confinement, à travers des téléconsultati
Dans le cadre de l’année de la BD 2020, la 5ème édition des carnets de voyage «sur les traces de Delacroix», porté par l’Institut Français de Meknès, se déroulera en itinérance, de Tanger à Meknès, du 8 oct
Ce beau-livre est de ceux rares, très rares, qui, de page en page, provoquent une sorte de stupeur ravie. Il suffit de l’ouvrir sur la table d’un libraire, de le feuilleter, pour être séduit déjà par la rigueur et la beauté de la mise en page,
Le procureur du roi près la Cour d’appel de Casablanca a annoncé, ce lundi 11 mai, son soutien aux femmes victimes de violences en cette période de confinement. Les actions et mesures prises sont la création de nouvelles plateformes numériques et t&e
L’artiste photographe guette les mouvements d’une personne atteinte de cécité. Un aveuglement de l'esprit, une impuissance - volontaire ou involontaire - à comprendre certaines choses. Elle ignore la présence du photographe jdidi Youssef Belhahamdounia, en
Bab L’Bluz. De quelle porte parle-t-on ? Celle par laquelle passe les cultures, les rythmes et les mélodies. C’est de ce constat que Bab L’Bluz signe un troisième album, «Nayda», surfant sur des notes saupoudrées de gnaoua, accommodées &agrav
L’artiste plasticienne, Nadia Chellaoui, et la présidente de l’association Moussanada (soutien), Meriem Biche Lorente, s’allient et lancent un projet à la fois social et culturel dans la région d’Essaouira pour venir en aide aux populations défavor
Saad Mouaffak prend, dans la série «Yacout et Aanbar», un malin plaisir à nous faire pleurer, à travers son personnage : Hamouda. De toutes les scènes ultra affectantes de la série, on ne va pas se mentir, la raison première pour laquelle on l