Le Conseil de gouvernement, qui s'est réuni ce dimanche, a adopté un projet de décret stipulant que toute violation des ordres et décisions des autorités publiques est passible d'une peine d'un à trois mois d'emprisonnement et d'une amende allant de 300 a 1.300 dirhams, ou l'une des deux peines.
La Commission de l'Intérieur au Parlement se réunira ce lundi 23 mars à 11 h pour étudier leprojet de décret-loi 2.20.292, conformément à l'article 81 de la Constitution.