Suite au vote par le Parlement, le 4 janvier, de la loi 56-12 relative aux chiens dit dangereux, les associations de protection animale au Maroc se sont rassemblées en un collectif qui dénonce la non-concertation avec les professionnels du domaine. Le collectif a annoncé sa volonté d’apporter son expertise professionnelle en vue de modifier cette loi «pour qu'elle soit en corrélation avec un objectif d'amélioration de la situation sanitaire, de la sécurité des citoyens dans leur ensemble, et la protection animale».