L’ecommerce est le nouveau créneau investi par les marchands des produits contrefaits. L’administration marocaine ne dispose pas des moyens nécessaires pour lutter contre ce phénomène. L’arsenal juridique n’est pas assez adéquat pour cerner le trafic. Le Royaume devrait s’aligner sur les recommandations euro-péennes, surtout au niveau des sanctions infligées. L’Observatoire marocain de la contrefaçon, destiné à suivre la situation, tarde à voir le jour.