Sur 500.000 entreprises bancarisées au Maroc, seul 1/3 des entités recourt au crédit. Les PME restent victimes d’une communication peu adéquate et d’un problème de confiance de la part des banques.
Casablanca Finance City (CFC) vient de conclure un protocole d'accord avec le géant britannique Chartered Institute for Securities & Investment (CISI), pour développer et promouvoir les certifications professionnelles dans les services financiers au Maroc et dans la région. A travers ce partenar
La Caisse centrale de garantie (CCG), l’Agence française de développement (AFD) et Bpifrance (Banque publique de France) viennent de signer un protocole d’accord pour doter les trois institutions d’un cadre approprié pour leur coopération future.
La Fondation Attawfiq Micro-Finance, filiale du Groupe Banque Populaire, vient d’obtenir de l’agence de notation financière internationale Fitch Ratings, la notation « A- avec des perspectives stables ».
Youssef Baghdadi, président du Directoire de Dar Assafaa, société de financement spécialisée dans la finance alternative, revient sur les enjeux de cette niche de financement et explique l’intérêt économique de ces produits. Un intérêt qui dépasse les considérations religieuses.
Le ministère de l’Economie et des Finances, en partenariat avec la FONDAFIP, organise les 13 et 14 septembre, la 7ème édition du colloque international sur les finances publiques sous le thème : «Quel pilotage des réformes en finances publiques au Maroc et en France?». Les travaux de cette
Les finances publiques du Maroc sont en dégradation continue. Après la baisse enregistrée au niveau des recettes fiscales de l’Etat à fin juillet 2013, avec une régression de 2,4% et qui a touché les impôts directs avec une baisse de 3,1%, les impôts indirects à 1,5% et les droits de dou
Le partenariat public-privé s’est érigé aujourd’hui comme un mode de structuration par excellence des projets d’infrastructures. D’aucuns estiment qu’il est même devenu un paramètre contextuel clé dans la mutation des finances publiques en proie à des problèmes structurels. Qu’e
A fin mai 2013, comparativement à la même période de 2012, l’exécution de la Loi de Finances laisse apparaître une hausse de 8,9% des dépenses ordinaires, combinée à une chute de 0,8% des recettes ordinaires. Ces deux facteurs ont, à l’évidence, accentué le déficit du Trésor.
L'exécution budgétaire au terme des cinq premiers mois de l’année a fait ressortir un déficit de 26 milliards de dirhams, contre 19,3 milliards une année auparavant. Cette aggravation reflète, selon BAM, l’effet conjugué d’une hausse de 3,2% des dépenses globales, en dépit de l’all