La cinquième édition des Intégrales de la finance organisée par CDG Capital a été l’occasion de faire intervenir banquiers, décideurs, opérateurs de marchés et investisseurs d’horizons et de cultures différentes pour débattre d’une thématique capitale pour la finance : la gestion e
Les Intégrales de la finance sont devenues au fil des ans un «must» pour la communauté des professionnels du marché financier. Cela permet de «voir du monde», et de l’avis de certains, de se ressourcer. Saad Bendidi, CEO du groupe Saham, va jusqu’à dire que cela l’inspire. Quelque 200
• La Caisse centrale de garantie (CCG) a organisé récemment en partenariat avec l’Association des femmes chefs d'entreprises du Maroc (AFEM), une rencontre sous le thème : «Financer son entreprise : comment lever des fonds». Cet atelier de sensibilisation a connu également la participati
2014 sera l’année du renouveau pour la place financière de Casablanca. En effet, la Direction du Trésor et des finances extérieures (DTEF) et la Bourse de Casablanca travaillent main dans la main pour mener à son terme une série de réformes afin de donner un nouveau souffle au marché finan
Malgré une conjoncture mondiale en légère amélioration, et les efforts du gouvernement en matière de réduction des déficits, la dette publique continue de croître de manière inquiétante. Sur les onze derniers mois de l’année, la hausse est de 12,6% à 553,8 milliards de dirhams, soit 85
La Loi de Finances 2014, passée au crible par l'AMSE, laisserait entrevoir une insoutenabilité budgétaire à long terme en raison du faible taux de couverture des dépenses par les ressources de l’Etat (moins de 60%). A cela s’ajoute un décalage entre les promesses de réformes et les mesure
Pas moins de 22 Mds de dirhams ont été demandés par les investisseurs cette semaine sur les bons de Trésor. Une véritable ruée justifiée par le roulement des positions arrivées à échéance. Ce n’est pas tout : les investisseurs ont également été moins exigeants sur les taux, ce qui a
Depuis que le système bancaire marocain pâtit du tarissement de liquidités (passage de 49 Mds de DH en 2012 à 78 Mds de DH à fin 2013), une frilosité des banques prédomine quant à l’octroi de prêts aux PME. Au demeurant, les deux mesures phares prises par BAM en juin et décembre dernier
Le texte veut préserver le pouvoir d’achat des citoyens tout en améliorant l’équilibre des finances publiques. L’UE, principal partenaire du Maroc, manifeste des signes de reprise. Les nouvelles taxations ou hausses d’impôt ont épargné les populations à bas revenu.
A fin octobre 2013, le déficit budgétaire a atteint 46,8 Mds de DH contre 37,3 milliards un an auparavant. Parallèlement, à la faveur du recul des cours moyens du pétrole brut, les charges de compensation ont pourtant baissé de 22,4%.