La cinquième édition des Intégrales de la finance organisée par CDG Capital a été l’occasion de faire intervenir banquiers, décideurs, opérateurs de marchés et investisseurs d’horizons et de cultures différentes pour débattre d’une thématique capitale pour la finance : la gestion e
Malgré une conjoncture internationale difficile qui a impacté les principales destinations, le secteur touristique national arrive à tirer son épingle du jeu. Au terme des dix premiers mois de l’année, le nombre d’arrivées et de nuitées est en progression. Pour leur part, les recettes se
Comptant parmi les leaders de la construction métallique et de la chaudronnerie lourde au Maroc, Delattre Levivier Maroc caracole en tête du secteur. Les clés du succès du groupe résident dans son plan stratégique. Il a mis en place un mix produits orienté vers la proximité clients à tra
Le modèle économique tel qu’il prévaut encore, reste dominé par le secteur primaire. Dans un contexte empreint d’incertitudes aussi bien sur le plan national qu’international, le secteur industriel n’a pu se ressaisir pour moult raisons. Cette configuration laisse planer le doute sur un
Le Centre marocain de conjoncture, à travers une analyse d'un ensemble d'agrégats de l'économie nationale, a octroyé une note «B» à la croissance marocaine. Selon le Centre, le modèle de croissance fait largement appel aux importations, actionnant de ce fait le mécanisme d'un multiplicateu
L’objectif de l’Office n’est pas l’augmentation numérique de l’effectif, mais d’assurer une réponse concertée à l’ensemble des partenaires. Un projet de réorganisation est en cours pour accompagner la régionalisation. Le point avec Larbi Bencheikh, DG de l’OFPPT.
La logistique est un outil permettant de supprimer les entraves à la fluidité des échanges et de renforcer davantage la compétitivité de l’économie marocaine. Le Royaume a lancé une stratégie dédiée, il y a quelques années, qui a été restylée sous l’ère de Aziz Rabbah, ministr
Les prévisions du Centre marocain de conjoncture (CMC) tablent sur une croissance de 4,9% en 2013, contre 2,7% en 2012. Et pourtant, les experts du centre exhortent à la pondération, eu égard à l’incapacité de ladite croissance à générer substantiellement des emplois. De plus, le pays do
Bank Al-Maghrib, dans son rapport trimestriel de la politique monétaire, révèle que le PIB agricole affiche + 16,7%. La composante non agricole, pour sa part, a ralenti à 3,2%, reflétant une contre-performance quasi généralisée de l’ensemble des secteurs d’activité. Au final, le PIB au
Selon la Banque centrale, la croissance devrait se situer entre 4,5% et 5,5%, avec une décélération du PIB non agricole à un rythme entre 2,5% et 3,5%. Dans ces conditions, l’output gap non agricole devrait se maintenir à court terme en dessous de zéro, indiquant l’absence de pressions