► Le Maroc n'a pas besoin que sa banque centrale procède à une monétisation de la dette publique, a expliqué Roberto Cardarelli, Chef de Mission du FMI au Maroc, à l'occasion d'une rencontre tenue à Rabat
Alors que la dette publique commençait à peine se résorber, la crise du Coronavirus va la relancer de plus belle. Une situation qui résulte à la fois d'une contraction des recettes de l'Etat, provoquant un déficit estimé &
Le Wali de Bank Al Maghrib (BAM), Abdellatif Jouahri, a souligné, mardi à Rabat, qu'il faut être "très vigilant" vis-à-vis du niveau de la dette publique et éviter aux générations à venir des endettements "ins
La tendance haussière de la dette publique directe s'est poursuivie avec une progression de 4,4% à 722,7 milliards de dirhams (MMDH) en 2018, soit un ratio au produit intérieur brut (PIB) de 65,3%, selon Bank Al-Maghrib (BAM). Cette évolution recouvre une
La macroéconomie devrait évoluer de manière mitigée en 2019. Mais le Trésor ne devrait pas peser sur les marchés. La macro constitue la principale source d'informations négatives et donc de risques p
Le financement du besoin du Trésor au titre de l’exercice 2017 a été assuré par des ressources intérieures nettes à hauteur de 35,4 milliards de dirhams (MMDH), les concours extérieurs s’étant limités à un montant net
A la fin du premier semestre 2017, la dette publique serait de l’ordre de 870 milliards de dirhams, soit près de 85% du PIB. Pour Najib Akesbi, économiste et professeur à l’Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, le risque de retour &ag
En plus de la dette du Trésor, celle des autres entités publiques a connu la même tendance haussière, avec un rythme nettement plus important. Le calcul de la dette publique sème la discorde entre politiques et économistes. Un taux de 82% constitue-
En 2015, le gouvernement prévoit une croissance des dépenses publiques plus rapide que celle des ressources, avec comme conséquence un écart de 35,3 Mds de dirhams contre 32 Mds de dirhams prévus cette année, et ce malgré l’allègement des charges de compensation. Un écart qu’il faudra f
Le Maroc paie en moyenne 4,7% d'intérêts pour sa dette. L’encours de la dette publique a atteint 494,33 milliards de DH à fin juin 2011. Sur ce total, 396,5 milliards de DH constituent la dette du Trésor (l’Administration); le reste étant dû, pour l’essentiel, par les entreprises et éta