L’Histoire nous tire par la nuque ! Elle nous nargue aussi. Il n’est pas besoin d’avoir un regard d’entomologiste pour comprendre à quel point les interférences extérieures et mercantiles ont entaché le dossier du Sahara marocain.Son histoire est celle d’une supercherie, consistant en
D’une idée, issue il y a vingt-cinq ans, mûrie et déployée avec ardeur - celle de l’UMA -, on en vient à déplorer, outre la mise en veilleuse, les dangers potentiels qu’elle enfante : la rivalité et la haine. Le Maghreb est un idéal, mais c’est aussi un mirage au grand malheur de ses
La visite au Maroc, il y a une semaine de Navy Pillay, haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme, a été marquée par une série de déclarations plutôt positives. Elle a salué les «grands progrès» du Maroc en matière de droits de l'Homme, même si elle a appelé en même
L'idéal maghrébin comme projet politique remonte à bien loin. Du 27 au 30 avril 1958, les dirigeants de trois partis nationalistes représentant le Maroc, l’Algérie et la Tunisie s’étaient réunis à Tanger pour lancer le «Maghreb des peuples».
«Le conflit du Sahara occidental n’a que trop duré et ne fait qu’aggraver les souffrances des Sahraouis marocains, prisonniers des séparatistes du polisario sous tutelle du régime algérien. Il est temps pour la communauté internationale de mettre l’Algérie et le polisario face à leurs
Lors de ces dernières décennies, le Royaume s’est engagé dans un processus de réformes économiques en profondeur afin de jouer les premiers rôles dans le peloton des pays émergents. Pour autant, cette ambition n’a nullement occulté les efforts du pays en matière de protection des droits
Dans deux semaines, tout au plus, le Conseil de sécurité des Nations Unies se penchera de nouveau sur ce que nous appelons, par un étrange euphémisme, «l’affaire du Sahara» ! Récurrente et répétitive, la session d’avril de ce tribunal du monde ne cesse de mobiliser depuis 39 ans les dé
Quel sera l’avenir – si tant est qu’il en existe un – de la relation entre l’Algérie et le Maroc après le scrutin du 17 avril ? Sauf miracle des autres candidats adversaires de Bouteflika, personne ne se hasarde à en donner cher.
• Présentation de l’ouvrage Afrique et puissances, édité par l’Institut des études africaines de Rabatsous la direction de : Yahia Abouelfarah, Echkoundi Mhammed, Mustapha Machrafi et Khadija Boutkhili.
Vingt-sept mois sont passés depuis que le Maroc s’est lancé dans la plus significative alternance politique, avec l’arrivée au pouvoir du PJD. Il y a un peu plus d’un an, il a célébré ce qu’on pourrait appeler «l’An 1» du gouvernement islamiste.