Le cadre d’action 2006-2011 des conclusions ministérielles d’Istanbul et de Marrakech prendra bientôt fin.Le résultat est mitigé pour les pays de la rive Sud de la Méditerranée.Pour les ONG, les engagements des Etats sont restés théoriques.
Il faut donner des signaux forts aux investisseurs, surtout internationaux.Certains secteurs fortement impactés par les aléas de la conjoncture, comme le tourisme, ont besoin de mesures urgentes.La prochaine législature sera très chargée et le futur gouvernement aura plusieurs défis à relever
Témoignage de Myriam Aït Boutalab, gérante d’une entreprise et ancien manager de commerce dans une enseigne de grande distribution.
Les magasins BIM sont ouverts dans des ruelles adjacentes aux grandes avenues où les loyers sont plus bas. Au Maroc, il existe une classe moyenne qui devient de plus en plus imposante et un marché en croissance régulière. Pendant l’année 2010, les ventes nettes de BIM ont atteint 4,1 millia
Le secteur de la grande distribution au Maroc ne détient que 11% de parts de marché.Pour Riad Laissaoui, Directeur général adjoint de Métro au Maroc, ce secteur a pris du retard.
Les artistes se plaignent de ne pas percevoir leurs droits d’auteur.Les listings qui servent de fiches de paie pour ces artistes ne sont pas faits par les diffuseurs.Le Bureau marocain des droits d’auteur se charge de la collecte et de la répartition de ces droits.33% de la collecte sont destin
Les investissements étrangers sont présents dans le capital de 127 sociétés de pêche mixtes.90% des ressources seront gérés par des plans d’aménagement.Certaines contraintes peuvent décourager les investisseurs étrangers à venir s’installer au Maroc.
Progression timide du chiffre d’affaires de 2% à 4,99 Mds de DH.Création de deux comités pour assurer la bonne marche de l’entreprise.Refonte du portefeuille d’activité du groupe.
Les petites et moyennes entreprises (PME) forment l’armature de toutes les économies et sont une source essentielle de croissance économique, de dynamisme et de flexibilité, aussi bien dans les pays industrialisés avancés que dans les économies émergentes et en développement.Si toutes l
35 entreprises seulement ont adhéré au programme Moussanada TH & C. Les 40% des frais de service déboursés par les PME sont jugés trop élevés.Le retour sur investissement dans ce programme peut aller jusqu’à 10%.