Pour certains, l’investissement alloué au projet aurait pu servir à des axes autoroutiers ou ferroviaires d’au moins 600 km supplémentaires, surtout dans les régions peu desservies par ce genre d’infrastructures.
Il faudrait des décennies pour assurer le retour sur investissement du projet, le nombre de voyageurs ayant la possibilité d’emprunter ce moyen de transport jugé élitiste, étant limité.