Le marché monétaire est demeuré en sous-liquidité au début de l’année 2011. Les taux d'intérêt ont évolué en quasi-stabilité au premier trimestre, en lien avec les interventions instantanées de Bank Al-Maghrib. Le marché bancaire subit les conséquences de plusieurs facteurs restrictifs de liquidité, en l'occurrence le volume important du déficit de la balance commerciale et l’évolution moins dynamique des investissements directs étrangers.