La croissance du PIB n’a pas suivi la même courbe de progression que celle qu’ont connue les crédits à l’économie.
Les banques semblent avoir favorisé, durant la dernière décennie, l’investissement non productif.
Dès 2011, une nouvelle phase d’accélération devrait se manifester grâce aux crédits immobiliers et aux crédits à l’équipement, considérés comme principaux leviers.