Le nouveau règlement se veut une réponse aux difficultés d'application et des lacunes enregistrées par les utilisateurs.
L'édition 2011 propose un nouveau zonage sismique sur la base de nouvelles données actualisées et reclasse les bâtiments en fonction de leur importance.
En dépit de son existence depuis 2002, le RPS 2000 est davantage une option qu'une mesure coercitive, d'où la question du contrôle.