Les experts de la Banque mondiale sont formels : le Maroc n’a d’autres choix si ce n’est de s’intégrer plus fortement aux nouvelles chaînes de valeur des échanges internationaux, et ce afin de tirer son épingle du jeu dans la nouvelle configuration du commerce international. Ce qui amène à s’interroger sur le nombre de produits exportés (2.949), au stock d’entreprises exportatrices, au taux de survie des nouveaux produits, ou encore à la centralité du Royaume dans la dynamique des échanges internationaux.