Selon le ministère de l’Habitat et de la Politique de la ville, la consommation nationale du ciment a démarré l’année 2018 du mauvais pied, affichant une baisse de 4,4%. Au terme du mois janvier 2018, les ventes de ciment se sont élev&eacut
Selon les derniers chiffres arrêtés par le département de l’habitat, les ventes de ciment se sont élevées à 1,27 millions de tonnes à fin novembre 2017, en progression de 5,19% comparé au même mois de l&rsquo
La consommation nationale de ciment a atteint 1,32 millions de tonnes à fin octobre, en hausse de 0,29% comparée à octobre 2017. Depuis le début de l'année, la consommation cumulée affiche une baisse de 3,67% à 11,39 millions de tonnes.&
Les ventes de ciment ont accusé une baisse de 9,2% au premier semestre 2017, après un retrait de 5,8% à fin mai 2017 et une hausse de 1,7% un an auparavant, selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du minist&egra
Les ventes cumulées de ciment à fin mai 2017 affichent un repli de 6% avec un volume de de 6 millions de tonnes. Rien que sur le moi de mai, la baisse est de 7,56% par rapport à mai 2016. Dans une déclaration au quotidien l'Economiste, Mohamed Cha
Pas de redressement pour la consommation de ciment au Maroc : sur les quatre premiers mois de l’année 2017, les ventes de ciments atteignent un volume de 4,8 millions de tonnes, en baisse de 5,32% par rapport à la même période de 2016, selon les statis
Malgré un premier trimestre prometteur, la reprise de la consommation de ciment ne sera pas pour cette année. En cause, un contexte économique peu porteur et la baisse de l’auto-construction. En attendant la reprise, de grands groupes comme Ciments du Maroc affûtent leurs armes, sur fond de
Le partage d’informations plus ou moins stratégiques n’est pas le fort des cimentiers marocains. Holcim a tout de même dérogé à cette règle à l’occasion de la présentation de ses résultats. Et si l’opérateur n’a pas voulu répondre à plusieurs questions d’analystes concernant
Les indicateurs relatifs au marché du ciment publiés à fin août (-4,98% à 9,3 millions de tonnes sur l’année) augurent d’une troisième année baissière. Mais la réalité est tout autre. Dans une étude récente, les analystes de MSIN se sont attelés sur les causes sous-jacentes du recu