Malgré une conjoncture internationale difficile qui a impacté les principales destinations, le secteur touristique national arrive à tirer son épingle du jeu. Au terme des dix premiers mois de l’année, le nombre d’arrivées et de nuitées est en progression. Pour leur part, les recettes se
Comptant parmi les leaders de la construction métallique et de la chaudronnerie lourde au Maroc, Delattre Levivier Maroc caracole en tête du secteur. Les clés du succès du groupe résident dans son plan stratégique. Il a mis en place un mix produits orienté vers la proximité clients à tra
Le Centre marocain de conjoncture, à travers une analyse d'un ensemble d'agrégats de l'économie nationale, a octroyé une note «B» à la croissance marocaine. Selon le Centre, le modèle de croissance fait largement appel aux importations, actionnant de ce fait le mécanisme d'un multiplicateu
L’objectif de l’Office n’est pas l’augmentation numérique de l’effectif, mais d’assurer une réponse concertée à l’ensemble des partenaires. Un projet de réorganisation est en cours pour accompagner la régionalisation. Le point avec Larbi Bencheikh, DG de l’OFPPT.
Les prévisions du Centre marocain de conjoncture (CMC) tablent sur une croissance de 4,9% en 2013, contre 2,7% en 2012. Et pourtant, les experts du centre exhortent à la pondération, eu égard à l’incapacité de ladite croissance à générer substantiellement des emplois. De plus, le pays do
Bank Al-Maghrib, dans son rapport trimestriel de la politique monétaire, révèle que le PIB agricole affiche + 16,7%. La composante non agricole, pour sa part, a ralenti à 3,2%, reflétant une contre-performance quasi généralisée de l’ensemble des secteurs d’activité. Au final, le PIB au
Selon la Banque centrale, la croissance devrait se situer entre 4,5% et 5,5%, avec une décélération du PIB non agricole à un rythme entre 2,5% et 3,5%. Dans ces conditions, l’output gap non agricole devrait se maintenir à court terme en dessous de zéro, indiquant l’absence de pressions
La croissance économique marocaine serait de 4,8% au premier trimestre 2013 au lieu de 2,7% une année auparavant, selon le haut commissariat au Plan. Voilà de quoi nous rendre le sourire après ces deux semaines ponctuées d’actualités politique et financière plutôt moroses. Ce raffermissem
● Le niveau des impayés est maîtrisé et reste inférieur à celui du marché. ● Eclairage de Laila Mamou, présidente du Directoire de Wafasalaf.
Le Haut commissaire au Plan, Ahmad Lahlimi, a présenté récemment les perspectives du HCP relatives au budget, à la croissance et à l’inflation pour l’année 2013. Cette analyse anticipative tient compte d’une baisse des subventions publiques à même de produire de légères pressions