■ Le fort contenu en importations de la croissance économique explique largement le déficit commercial.■ En 11 ans, les importations de biens et services ont triplé pour atteindre 399 Mds de DH.■ Les importations incompressibles sont composées essentiellement de biens d’équipement
■ Malgré la stabilité macro-économique, cette dernière n’a pas induit une véritable percée au plan de la compétitivité internationale.■ Sur 41 pays, le Maroc occupe la 31ème place loin derrière la Tunisie, l’Egypte et l’Algérie dont les rangs respectifs sont les 6ème, 10ème
■ Les représentations de l’Italie au Maroc s’activent pour accompagner les opérateurs des deux pays.■ Présentation d’une nouvelle brochure des foires et expositions en Italie et des mesures de facilitation des échanges.
■ Le projet vise à accompagner les entreprises pour leur assurer une pérennité et améliorer leurs revenus.■ Les coaches ont veillé à perfectionner et faciliter l’assimilation des connaissances techniques et technologiques aux entrepreneurs.
■ Le dysfonctionnement du système éducatif public a permis l’ascension du secteur privé.■ En l’absence d’une vraie politique de contrôle, les dirigeants des établissements privés imposent leur loi.
■ Les associations de consommateurs saluent la perception par le nouveau gouvernement du droit du consommateur, mais insistent sur la nécessité de mettre en place les outils pour l’application de la loi 31/08.■ Selon Ouadi Madih, président de l’Association de protection du consommateur
■ Des experts du continent ont débattu des enjeux de l'eau potable à Marrakech.■ Au cours des dix dernières années, l’ONEP a mis en service 42 stations d’épuration au Maroc.
■ Un accord de distribution vient d’être signé avec le leader mondial du storage, EMC, pour tout ce qui a trait au Cloud. ■ Disway prévoit une reprise de 60% pour le marché tunisien.
■ 2,5 millions d’affiliés ont été enregistrés pour l’année 2011. ■ Mise en place du site damancom.ma et allo daman pour faciliter les relations entre la CNSS et ses affiliés.■ 95% des entreprises payent leurs cotisations de manière spontanée.
■ La Société islamique pour le développement veut accompagner le développement de la finance islamique au Maroc.■ Ses exigences risquent cependant d’être un frein à l’essor de son activité dans le Royaume.