Les autorités monétaires vont probablement attendre au moins 2020 avant de passer à la deuxième étape de la flexibilité du Dirham, ont déclaré deux responsables proches du dossier à l’agence américaine Bloomberg.

Pour l’un des deux responsables interrogés par l'agence, « Un environnement commercial mondial imprévisible et une absence de reprise des échanges avec les principaux partenaires en Europe signifient qu'une avancée vers une plus grande flexibilité cette année pourrait nuire aux réserves en devises étrangères ». L’autre source indique que « le Maroc s’attacherait d’abord à réduire son déficit budgétaire et à augmenter ses recettes fiscales cette année et l’année prochaine, avant d’agir sur les bandes ».

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