Les banques marocaines ont massivement investi dans les Bons du Trésor (BDT) en 2013 (+30%) engendrant une hausse de leur part dans l’actif des banques. Les conditions avantageuses offertes par le Trésor public, et son grand besoin en financement crée néanmoins un effet d’éviction qui a impacté le niveau de crédit distribué aux agents économiques.