Le manque de gouvernance, associé à la crise mondiale, a coûté deux à trois points de croissance au Maroc.
L’achèvement des plans sectoriels, notamment exportateurs, est une urgence pour assurer des rentrées d’argent au pays. Une alternative compromise faute de pilotage économique.
Adil Douiri, Président de l’Alliance des économistes istiqlaliens (AEI) et membre du Comité exécutif de l’Istiqlal, prévient d’une année de perdue avec un PLF vide !