En page 4 sur le billet «coup de gueule» de votre hebdomadaire du vendredi 24 décembre 2010, vous avez aligné des formules de récrimination («l'attribution des marchés continue de soulever un véritable tollé…», «les responsables sont tenus de…» ) et de contre-vérités («chantier ajourné pour quelques années», «calvaire des automobilistes»). Concernant les délais, l'ouvrage sera terminé dans l'année ; un communiqué de presse paru le mardi 20 décembre 2010 a apporté publiquement cette information ; quelle utilité alors de la contredire ?
Les conditions de circulation sont bonnes, l'information aux usagers est complète et la conduite des travaux sous exploitation se fait conformément aux normes les plus élevées. On pourrait multiplier les exemples de chantiers à l'étranger qui se conduisent avec des conditions plus extrêmes. Du reste sur cette question, l'information est facile à trouver. En parfait accord avec ses bailleurs de fonds multilatéraux qui lui font pleinement confiance, ADM a réduit énormément les délais de consultation des entreprises pour faire reprendre le chantier et sa réactivité a été élevée lorsqu'il a fallu traiter la défaillance de l'entreprise initiale. ADM n'admet aucun compromis dans la gestion de ses contrats et projets, se targue d'avoir respecté globalement ses délais et applique la plus grande rigueur à la conduite de ses activités. Nous vous demandons en conséquence de remédier à cette erreur en publiant une correction reprenant la vraie information, et ce au moins dans les mêmes conditions de parution et d'espace que votre article.