La question s’impose dans un contexte marqué par la crise en Europe et les opportunités intéressantes qu’offre le marché marocain.
Les lauréats sont prêts à sacrifier jusqu’à 30 % de leur salaire pour revenir au Maroc.
Le marché de l’emploi au Maroc étant à tendance généraliste, les profils pointus sont également difficiles à caser.
Les «revenants» se heurtent à beaucoup de difficultés qu’il faut anticiper avant de franchir le pas.