A l’instar du développement du pays, l’agriculture nationale évolue à deux vitesses. La branche moderne dispose de structures et d’outils quasi similaires à ce qui existe dans les pays développés. Le maître mot étant la productivité et la performance. Cette branche fait appel aux meilleures innovations technologiques et arrive à limiter, à l’extrême, les aléas climatiques. En revanche, la branche traditionnelle reste vivrière, fortement dépendante des pluies. Conscient de ce constat, le Royaume a lancé un méga programme pour consolider les acquis du secteur moderne et hausser le niveau de la partie traditionnelle.