Ils ont surclassé la presse et les médias, mais ils ne peuvent pas remplacer les partis politiques en matière d’encadrement de la population et l’élaboration de programmes.
Les partis politiques marocains sont, depuis un certain temps, en perte de vitesse, et ils n’ont pas pu accompagner l’évolution de la population, surtout les jeunes.
Eclairage de Mohamed Darif, politologue.