L’immense majorité des malades mentaux ne représente aucun danger pour eux-mêmes et pour la société.
Seuls 2 % de la population, soit 600.000 personnes, peuvent être éventuellement dangereux en cas d’arrêt du traitement.
En 2010, le ministère de la Santé a acheté pour 52 millions de DH de médicaments pour contrecarrer ce danger d’arrêt du traitement. Idem pour 2011.
Le professeur Driss Moussaoui, Directeur du Centre psychiatrique universitaire Ibn Rochd, expose les principaux problèmes qui peuvent mener à une tragédie humaine.