Le patronat affiche clairement ses critiques sur la méthode de travail du gouvernement et estime qu’il n’a pas d’audace politique pour mener les grandes réformes.
Les institutions internationales et les investisseurs étrangers sont très regardants sur le niveau de stabilité politique du pays.
Un gouvernement Benkiran II, ou carrément une nouvelle équipe, serait salutaire pour dissiper les inquiétudes et donner de la visibilité.