• Le gouvernement soutient que la coupe budgétaire s’explique par le risque de dérapage du déficit public en 2013.
• Ce risque provient de la baisse de 3,3 milliards de dirhams des recettes fiscales constatées au premier trimestre 2013, et du report des investissements publics.
• Le gouvernement espère, malgré cette coupe, maintenir les investissements publics en 2013 entre 45 à 48 milliards de dirhams comme l’année dernière.
• J. Kerdoudi, président de l’IMRI, livre son point de vue.