Ce rejet est fondé sur le fait que la Minurso est chargée, en vertu de l’accord de 1991, de surveiller le cessez-le-feu et d’organiser le referendum, rendu caduc depuis. Toutes les démarches autour de la question du Sahara marocain s’inscrivent dans le cadre du chapitre VI de la charte de l’ONU, qui stipule que toute résolution doit être acceptée par toutes les parties, dans un esprit de consensus. C’est en sus la réponse de Saâd Dine El Othmani à une question présentée par les groupes socialiste, Haraki, Justice et développement, Progrès démocratique, Istiqlalien,  et PAM, à la Chambre des représentants.