La contrebande continue de sévir, impactant en cela notre économie et présentant des risques énormes pour la santé. Les présides occupés de Sebta et Mellilia et le Sahara marocian restent les lieux de prédilection de ce trafic. Malgré la baisse des droits de douane, cette activité informelle s’active, surtout pour des produits fortement contrôlés comme le tabac, l’alcool, le carburant et même les médicaments qui, parfois, sont périmés ou ne répondent pas aux normes marocaines.