Après des années de forte progression, l’offshoring présente des signes de ralentissement, voire d’essoufflement. La crise qui sévit en Europe, notamment en France, a eu un effet négatif sur la demande. Les revenus à l’export de l’activité ont reculé.
Le Maroc connaît une vive concurrence de la part d’autres pays jugés plus compétitifs. Le prix reste un critère de choix fondamental. Il est opportun d’investir de nouvelles pistes.