Si l’on apprécie davantage la politique de communication initiée par le Directeur général du CDVM, Hassan Boulaknadel, que celle de son prédécesseur, la presse en particulier ressent pourtant un certain goût d’inachevé. Car certaines affaires n’ont pas été encore vidées par la Justice. Ou, si elles l’ont été, l’opinion publique n’en a pas été informée. En tout cas, le gendarme du marché avait décidé de rendre publiques les décisions de Justice.