Les pluies de mars et d’avril ont permis de redresser la situation et de sauver in extrémis la campagne.
Certaines filières (animale, cultures semi-tardives, printanières ou arboricoles) ont pu tirer leur épingle du jeu.
Le taux de remplissage des barrages a régressé à 65%, contre 81% une année auparavant. Mais les réserves en eau assurent de la visibilité pour la prochaine campagne.